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RIEN A FOUTRE...ou comment bien brasser la crème...
Bon bon bon...jeudi, 21 décembre 2006...quelques cours de cuisine bien placés...ou plutôt comment camoufler dans mon bas mes envies intenses de tuer quelqu'un...avant d'appeller la police sur mes intentions...continuer à me lire...il y a certaines personnes de mon entourage qui connaissent mes plans de vouloir aller étudier en psychologie...branche que j'aurais du aborder il y a de nombreuses années...étant une personne qui pense beaucoup, à tout et à rien, je trouvais que devenir psychologue me servirait d'exécutoire de mes propres démons intérieurs...ne dit-on pas cordonnier mal chaussé? J'ai passé une année entière (bon, ok, pas toute l'année à ne faire uniquement cela) à essayer de me mettre dans la peau d'une personne qui viendrait à en tuer une autre. J'essayais de me retrouver dans un état psychologique près de celui dans lequel ce dit tueur se retrouvait. Difficile à faire, ne connaissant pas personne dans mon entourage qui a tuer de sang froid ou qui est tueur en série dans ses temps libres. J'ai même réussi, à un certains moment donné, de faire un rêve tellement réel que je croyais sincèrement que j'avais tuer plusieurs personnes et dissimuler leurs corps quelque part sur les abords de la 20. Un peu comme une histoire de M.King. À un point tel que je me disais que je m'étais levée durant la nuit, sous le joug du somnanbulisme et suis aller faire mes meurtres...(tk, je ne crois sincèrement pas que j'ai commis quoique ce soit, mais mettons que si il retrouve un corps sur l'autoroute 20, je crois que je vais sincèrement me mettre à paniquer...) Mais ensuite je me suis dit que c'était peut-etre un rêve prémonitoire...j'en fais souvent et rarement je me suis trompé...comme l'histoire de l'accident sur la 20 (encore!!!) de mon ex...mais encore, je m'éloigne...il n'est pas difficile d'avoir droit de vie ou de mort sur quelqu'un. Pensez-y 2 secondes. Nous avons tellement de libertés, que de choisir pour quelqu'un d'autre devient un automatisme...lorsque l'on perd le controle de notre propre vie, ou plutot, si nous avons trop le controle de ce qui se passe autour de nous, il nous serait extrêment facile de vouloir dire, bon bien, ce matin, je vais décider qui va vivre, qui va mourir. Là ou le comportement change, c'est lorsque l'on décide si oui ou non on va agir sous nos impulsions...c'est la mince ligne...et croyez-moi, elle est mince...certes, tout être humain équilibré est conscient que tuer un autre humain est euh, humainement innaceptable. L'est-ce vraiment? Les guerres...pour une idée, pour une terre, pour une religion...non, je vous le dit, n'importe qui peut se transformer en tueur...c'est juste que maintenant, en 2006, ils portent un nom et quand ils reviennent, ils sont décorés...se sont nos soldats...pardon...les soldats...point à la ligne...
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Bon bon bon...jeudi, 21 décembre 2006...quelques cours de cuisine bien placés...ou plutôt comment camoufler dans mon bas mes envies intenses de tuer quelqu'un...avant d'appeller la police sur mes intentions...continuer à me lire...il y a certaines personnes de mon entourage qui connaissent mes plans de vouloir aller étudier en psychologie...branche que j'aurais du aborder il y a de nombreuses années...étant une personne qui pense beaucoup, à tout et à rien, je trouvais que devenir psychologue me servirait d'exécutoire de mes propres démons intérieurs...ne dit-on pas cordonnier mal chaussé? J'ai passé une année entière (bon, ok, pas toute l'année à ne faire uniquement cela) à essayer de me mettre dans la peau d'une personne qui viendrait à en tuer une autre. J'essayais de me retrouver dans un état psychologique près de celui dans lequel ce dit tueur se retrouvait. Difficile à faire, ne connaissant pas personne dans mon entourage qui a tuer de sang froid ou qui est tueur en série dans ses temps libres. J'ai même réussi, à un certains moment donné, de faire un rêve tellement réel que je croyais sincèrement que j'avais tuer plusieurs personnes et dissimuler leurs corps quelque part sur les abords de la 20. Un peu comme une histoire de M.King. À un point tel que je me disais que je m'étais levée durant la nuit, sous le joug du somnanbulisme et suis aller faire mes meurtres...(tk, je ne crois sincèrement pas que j'ai commis quoique ce soit, mais mettons que si il retrouve un corps sur l'autoroute 20, je crois que je vais sincèrement me mettre à paniquer...) Mais ensuite je me suis dit que c'était peut-etre un rêve prémonitoire...j'en fais souvent et rarement je me suis trompé...comme l'histoire de l'accident sur la 20 (encore!!!) de mon ex...mais encore, je m'éloigne...il n'est pas difficile d'avoir droit de vie ou de mort sur quelqu'un. Pensez-y 2 secondes. Nous avons tellement de libertés, que de choisir pour quelqu'un d'autre devient un automatisme...lorsque l'on perd le controle de notre propre vie, ou plutot, si nous avons trop le controle de ce qui se passe autour de nous, il nous serait extrêment facile de vouloir dire, bon bien, ce matin, je vais décider qui va vivre, qui va mourir. Là ou le comportement change, c'est lorsque l'on décide si oui ou non on va agir sous nos impulsions...c'est la mince ligne...et croyez-moi, elle est mince...certes, tout être humain équilibré est conscient que tuer un autre humain est euh, humainement innaceptable. L'est-ce vraiment? Les guerres...pour une idée, pour une terre, pour une religion...non, je vous le dit, n'importe qui peut se transformer en tueur...c'est juste que maintenant, en 2006, ils portent un nom et quand ils reviennent, ils sont décorés...se sont nos soldats...pardon...les soldats...point à la ligne...
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