Terre, nous avons un probleme
Toujours et encore, persiste et signe, tel est ma devise.
Il y a des introspections qui ne sont pas bonnes à faire, voire à expérimenter. Se regarder le nombril de l’intérieur demeure une activité un peu dégoutante, considérant les viscères, le sang et l’eau…
Le rapport? Ou serons-nous demain? Que peut-on faire maintenant pour s’assurer plus tard. Plusieurs dirons que c’est déjà fait, notre avenir est sombre et aucune solution possible. Malgré tout, en nombriliste narcissique que nous sommes, nous voulons améliorer notre sort au travers les autres. Créer une homogénéité mondiale (dans nos têtes) pour combler notre besoin primal de reconnaissance.
En réussissant à sensibiliser les autres à notre cause, (la planète), forcément, ils s’intéressent au sujet principal, le moi.
Bon, soyons plus claire. En suis-je capable? Est-ce un exercice de style ou tout simplement des phrases garrochées ici et là pour justement, faire un exercice? Qu’en sais-je…le savez-vous vous ce que vous faites vraiment? Que l’air vicié que vous respirer est bel et bien celui que vous devriez respirer. Ne voudriez pas voir si l’air est le même ailleurs, sans pomper celui de votre voisin? Parce que la aussi, ce sera une chose que vous devrez décider demain. Devrez-vous ou non éliminer le droit de respirer de votre voisin pour que vos enfants puissent vivre? La roue est interminable. Nous sommes seuls MÊMES si nous formons une société. Nous somme seuls MÊME si nous décidons en groupe. Nous sommes seuls SURTOUT lorsque nous sommes en groupe. Réussir à créer UNE entité de plusieurs personnes demeure irréalisable. Je suis qui je suis, je ne serai jamais mon voisin. Il faudrait que nous trouvions une façon de pouvoir arrêter de penser et tout devenir des imbéciles heureux…
LA frustration ultime est la société et sa façon de s’identifier avec les individus qui la composent. Et tous ces groupuscules dans cette même société, ce qui fait que nous nous éloignons légèrement d’unité…je sais que société, c’est regroupé, mais bon.
Re-donc. Au lieu de chercher une façon de tous s’allier, faudrait trouver pourquoi nous devrions le faire. Sérieusement. Et ne me redonnez pas le fait que la terre est en train de dépérir. Que la guerre est en train de décimer des peuples entiers. Que les gouvernements sont corrompus pour atteindre et satisfaire leur soif de pouvoir. On est tous au courant de cela, on le vit chaque jour, et en bon mouton, nous suivons. Je le sais, j’en fais partie. Pourquoi ne vais-je pas en marge? Parce que je me mettrais en situation du moi. Ce que j’essaie d’éviter.
Alors, il faudrait qu’effectivement une masse de gens décident de faire tout autrement en même temps pour vraiment considérer un changement.
On va pas se leurrer, cela n’arrivera pas…J’imagine effectivement une centaine de mille d’humain qui déciderait demain, de ne pas se lever pour aller travailler, ou plutôt y aller quand cela leur tentera. Que ferons les quelques millions d’autres? Garanti qu’ils se rebelleront. Donc, ensuite, la centaine de mille qui n’auront pas été travaillé (question d’essayer d’abolir le système capitaliste), se ferait donc automatiquement exclure de la société ou plutôt avec de petites sanctions. (by the way, j’extrapole là, ne venez pas me corriger en plus…)…mais c’est l’après sanction. SI on disait que, oh, je sais pas moi, tous les chauffeurs d’autobus décideraient de ne pas rentrer travailler, pas de problèmes, ils seraient remplacer par des scabs. En plus du système qui serait légèrement ralenti, la frustration des usagers qui ont décidé eux, d’aller travailler…encore mieux, si on décidait tous demain de bannir les supermarchés et aller se fournir directement chez l’agriculteur…
Et on ne s’en sort pas…malgré le ‘’systematic mass changing’’, rien ne pourrait changer dans l’immédiat…évidemment, sera votre première impression. Ah oui? Ben si c’est le cas, arrêter de mentionner qu’il faut changer maintenant! (et là, je parle des messages envoyer en masse qui nous demandent de réaliser et de changer maintenant, pour s’assurer un avenir demain…)…
Vous voyez, je réussis à suivre mes idées…d’une façon chaotique, mais je crois que je mes mots ne sont jamais assez puissants, parce que pour le texte documentaire, je connais que dalle. Possiblement l’idée serait encore plus claire si cela faisait partie d’un dossier d’analyse gros comme ça. Mais bon, cela tiens sur deux pages et sur un blog qui tient sur quelques lignes. En résumé…je fais tout pour changer et essayer de m’améliorer, pas seulement pour atteindre le moi, mais possiblement pour atteindre un toi à la fois…
Il y a des introspections qui ne sont pas bonnes à faire, voire à expérimenter. Se regarder le nombril de l’intérieur demeure une activité un peu dégoutante, considérant les viscères, le sang et l’eau…
Le rapport? Ou serons-nous demain? Que peut-on faire maintenant pour s’assurer plus tard. Plusieurs dirons que c’est déjà fait, notre avenir est sombre et aucune solution possible. Malgré tout, en nombriliste narcissique que nous sommes, nous voulons améliorer notre sort au travers les autres. Créer une homogénéité mondiale (dans nos têtes) pour combler notre besoin primal de reconnaissance.
En réussissant à sensibiliser les autres à notre cause, (la planète), forcément, ils s’intéressent au sujet principal, le moi.
Bon, soyons plus claire. En suis-je capable? Est-ce un exercice de style ou tout simplement des phrases garrochées ici et là pour justement, faire un exercice? Qu’en sais-je…le savez-vous vous ce que vous faites vraiment? Que l’air vicié que vous respirer est bel et bien celui que vous devriez respirer. Ne voudriez pas voir si l’air est le même ailleurs, sans pomper celui de votre voisin? Parce que la aussi, ce sera une chose que vous devrez décider demain. Devrez-vous ou non éliminer le droit de respirer de votre voisin pour que vos enfants puissent vivre? La roue est interminable. Nous sommes seuls MÊMES si nous formons une société. Nous somme seuls MÊME si nous décidons en groupe. Nous sommes seuls SURTOUT lorsque nous sommes en groupe. Réussir à créer UNE entité de plusieurs personnes demeure irréalisable. Je suis qui je suis, je ne serai jamais mon voisin. Il faudrait que nous trouvions une façon de pouvoir arrêter de penser et tout devenir des imbéciles heureux…
LA frustration ultime est la société et sa façon de s’identifier avec les individus qui la composent. Et tous ces groupuscules dans cette même société, ce qui fait que nous nous éloignons légèrement d’unité…je sais que société, c’est regroupé, mais bon.
Re-donc. Au lieu de chercher une façon de tous s’allier, faudrait trouver pourquoi nous devrions le faire. Sérieusement. Et ne me redonnez pas le fait que la terre est en train de dépérir. Que la guerre est en train de décimer des peuples entiers. Que les gouvernements sont corrompus pour atteindre et satisfaire leur soif de pouvoir. On est tous au courant de cela, on le vit chaque jour, et en bon mouton, nous suivons. Je le sais, j’en fais partie. Pourquoi ne vais-je pas en marge? Parce que je me mettrais en situation du moi. Ce que j’essaie d’éviter.
Alors, il faudrait qu’effectivement une masse de gens décident de faire tout autrement en même temps pour vraiment considérer un changement.
On va pas se leurrer, cela n’arrivera pas…J’imagine effectivement une centaine de mille d’humain qui déciderait demain, de ne pas se lever pour aller travailler, ou plutôt y aller quand cela leur tentera. Que ferons les quelques millions d’autres? Garanti qu’ils se rebelleront. Donc, ensuite, la centaine de mille qui n’auront pas été travaillé (question d’essayer d’abolir le système capitaliste), se ferait donc automatiquement exclure de la société ou plutôt avec de petites sanctions. (by the way, j’extrapole là, ne venez pas me corriger en plus…)…mais c’est l’après sanction. SI on disait que, oh, je sais pas moi, tous les chauffeurs d’autobus décideraient de ne pas rentrer travailler, pas de problèmes, ils seraient remplacer par des scabs. En plus du système qui serait légèrement ralenti, la frustration des usagers qui ont décidé eux, d’aller travailler…encore mieux, si on décidait tous demain de bannir les supermarchés et aller se fournir directement chez l’agriculteur…
Et on ne s’en sort pas…malgré le ‘’systematic mass changing’’, rien ne pourrait changer dans l’immédiat…évidemment, sera votre première impression. Ah oui? Ben si c’est le cas, arrêter de mentionner qu’il faut changer maintenant! (et là, je parle des messages envoyer en masse qui nous demandent de réaliser et de changer maintenant, pour s’assurer un avenir demain…)…
Vous voyez, je réussis à suivre mes idées…d’une façon chaotique, mais je crois que je mes mots ne sont jamais assez puissants, parce que pour le texte documentaire, je connais que dalle. Possiblement l’idée serait encore plus claire si cela faisait partie d’un dossier d’analyse gros comme ça. Mais bon, cela tiens sur deux pages et sur un blog qui tient sur quelques lignes. En résumé…je fais tout pour changer et essayer de m’améliorer, pas seulement pour atteindre le moi, mais possiblement pour atteindre un toi à la fois…
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