On m’a souvent dit que je n’écoutais pas ce que les gens me disaient, que ce soit au niveau de conseil ou tout simplement de commentaires…ma mère a essayé en vain et n’a jamais réussi vraiment. Par contre, je me rends compte que plusieurs de ses commentaires et conseils avaient du bon. Un peu tard par contre pour les appliquer. Ma vie étant ce qu’elle est, je ne pourrais que me blâmer pour les décisions que j’ai prises et les chemins que j’ai empruntés. Non, rien de rien, je ne regrette rien…
Ce qui me déconcerte par contre, c’est la façon dont le destin fonctionne. Lorsque nous sommes à l’écoute de notre cœur et de notre instinct, plus souvent qu’autrement, nous les faisons taire car nous ne savons pas décoder ce qu’ils nous disent. Mais à quel point ont-ils raison? Je suis une personne qui a peur de réussir, malgré tout. Pas une réussite sociale, non, celle-là, je m’en fous un peu. Être reconnue par mes pairs demeurent un aboutissement, certes, mais pas la raison. Encore moins le leitmotiv. Mais il ne faut pas se leurrer, notre besoin de reconnaissance va au-delà de notre égo. C’est une façon pour nous de se sentir vivant. Ou encore de passer incognito au milieu de la masse. Ce que je n’aime pas. J’ai jamais aimé. Je suis prise entre l’arbre et l’écorce : je veux pouvoir me démarquer sans pour autant faire de grosses vagues. Déranger, oui, pour les bonnes raisons. Que sont les bonnes raisons? Tous les jours on me garroche en pleine face un tas de raisons pour déranger. Pour exprimer mon désaccord ou mon appui. Je reviens constamment sur ce sujet. Je ne suis qu’une personne qui adhèrerait à une autre masse. Anthropologiquement parlant, l’être humain ne peut survivre seul. Il se doit de faire partie d’un clan. Seuls les plus forts survivront. Seuls ceux qui savent survivront. Seuls ceux qui se révoltent survivront. Survivront à quoi? L’extinction? Nous sommes de chair et de sang, matière grise développée, capacité de penser et d’analyser. Nous ne serons toujours que seuls avec nos solutions. Même en groupe. Je sais qu’il est dit et prouvé que plus nous mettrons à l’épreuve la capacité de la terre à nous supporter, plus nous augmentons nos chances de subir ses furies. Nous le savons.
Plus nous mettrons à l’épreuve nos gouvernements, plus nous augmentons nos chances d’être enfermés et ostraciser de cette société, ce qui fera de nous des parias. Plus nous serons ostraciser de la société, plus il nous faudra apprendre à vivre en marge et bon, survivre. Cela ne pourra se faire par contre si la ‘’masse’’ pensait comme nous. Elle ne pense pas comme nous. Nous ne pensons pas comme la masse. Je suis une autruche qui se creuse un trou assez profond pour faire bouger les plaques tectoniques. C’est possiblement moi la responsable. Responsable individuellement, de ce qui se passe globalement. Vous le savez, je le sais, nous le savons…conjuguez comme vous le voulez, le résultat sera le même. Et le destin là-dedans?
Nous croyons que nous sommes les seuls avec un destin. Que forcément, nous avons à accomplir plutôt que de vivre…il en va de même pour tout ce qui nous entoure. En explication simple, c’est une forme de colocation. Intrinsèquement, nous sommes tous liés au même destin, qu’il soit rose (re-citons Edith…) ou tout simplement emplis de nuages noirs et menaçants. C’est maintenant de savoir si on est prêts à écouter son cœur et son instinct…on ne peut pas tâter son pouls sans négliger celui de notre voisin (voir coloc). Au début du mois, on doit tous payer, anyway…
Ce qui me déconcerte par contre, c’est la façon dont le destin fonctionne. Lorsque nous sommes à l’écoute de notre cœur et de notre instinct, plus souvent qu’autrement, nous les faisons taire car nous ne savons pas décoder ce qu’ils nous disent. Mais à quel point ont-ils raison? Je suis une personne qui a peur de réussir, malgré tout. Pas une réussite sociale, non, celle-là, je m’en fous un peu. Être reconnue par mes pairs demeurent un aboutissement, certes, mais pas la raison. Encore moins le leitmotiv. Mais il ne faut pas se leurrer, notre besoin de reconnaissance va au-delà de notre égo. C’est une façon pour nous de se sentir vivant. Ou encore de passer incognito au milieu de la masse. Ce que je n’aime pas. J’ai jamais aimé. Je suis prise entre l’arbre et l’écorce : je veux pouvoir me démarquer sans pour autant faire de grosses vagues. Déranger, oui, pour les bonnes raisons. Que sont les bonnes raisons? Tous les jours on me garroche en pleine face un tas de raisons pour déranger. Pour exprimer mon désaccord ou mon appui. Je reviens constamment sur ce sujet. Je ne suis qu’une personne qui adhèrerait à une autre masse. Anthropologiquement parlant, l’être humain ne peut survivre seul. Il se doit de faire partie d’un clan. Seuls les plus forts survivront. Seuls ceux qui savent survivront. Seuls ceux qui se révoltent survivront. Survivront à quoi? L’extinction? Nous sommes de chair et de sang, matière grise développée, capacité de penser et d’analyser. Nous ne serons toujours que seuls avec nos solutions. Même en groupe. Je sais qu’il est dit et prouvé que plus nous mettrons à l’épreuve la capacité de la terre à nous supporter, plus nous augmentons nos chances de subir ses furies. Nous le savons.
Plus nous mettrons à l’épreuve nos gouvernements, plus nous augmentons nos chances d’être enfermés et ostraciser de cette société, ce qui fera de nous des parias. Plus nous serons ostraciser de la société, plus il nous faudra apprendre à vivre en marge et bon, survivre. Cela ne pourra se faire par contre si la ‘’masse’’ pensait comme nous. Elle ne pense pas comme nous. Nous ne pensons pas comme la masse. Je suis une autruche qui se creuse un trou assez profond pour faire bouger les plaques tectoniques. C’est possiblement moi la responsable. Responsable individuellement, de ce qui se passe globalement. Vous le savez, je le sais, nous le savons…conjuguez comme vous le voulez, le résultat sera le même. Et le destin là-dedans?
Nous croyons que nous sommes les seuls avec un destin. Que forcément, nous avons à accomplir plutôt que de vivre…il en va de même pour tout ce qui nous entoure. En explication simple, c’est une forme de colocation. Intrinsèquement, nous sommes tous liés au même destin, qu’il soit rose (re-citons Edith…) ou tout simplement emplis de nuages noirs et menaçants. C’est maintenant de savoir si on est prêts à écouter son cœur et son instinct…on ne peut pas tâter son pouls sans négliger celui de notre voisin (voir coloc). Au début du mois, on doit tous payer, anyway…
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