I AM PATHETIC...si si, je le suis...

L’histoire se répète à ce qu’on dit. En ce moment, ce n’est pas tant au niveau de la répétition que mon blog va prendre forme aujourd’hui. C’est au niveau de ce que j’imaginais ma vie…et que certaines choses se sont produites de la même façon que certaines choses pourraient se produire…



Depuis que je suis toute petite, j’aime me raconter des histoires. Sur comment sera ma vie, sur la façon que je la vivrai, mon monde idéal etc. Je le fais parfois encore (faux, je le fais tout le temps!). C’est probablement la raison pour laquelle j’ai parfois de la difficulté à vivre dans le présent. Et non le carpe diem…


Donc, au travers les nombreuses histoires que je me raconte, plus souvent qu’autrement, je les ajuste en fonction des gens qui font parti de ma vie, intégralement ou tout simplement en bordure de. Ce qui crée plus souvent qu’autrement une frustration, puisqu’au travers des âges, j’ai tout de même ajusté mes histoires en fonction du fait qu’elles pouvaient se réaliser. Vous me voyez venir?


Si on prend le cas présent. Depuis que j’ai 16 ans, mon homme idéal devait peindre ou du moins avoir un talent plus qu’évident en dessin ou en reproduction de la vie sur papier, mais en visuel. Un peu mon alter ego de la plume, qui réussirait à mettre en images ce que mon esprit déluré peut/veut écrire. C’était un pré requis que je ne trouve pas à tous les coins de rues. Mais pendant longtemps, (en fait tout le temps), les relations qui ont fonctionnés, c’étaient avec des artistes : bassistes, dj, guitariste. Les seules relations (et de lesquelles sont issues mes 2 merveilles), étaient avec des personnes way out of my expectations of the man i want i my life to be. Cérébral, logique, méthodique et manipulateur…définitivement le contraire de ce que je suis. J’en ai aimé un à m’en fendre l’âme, effectivement, mais bon, that is history…


Redonc, en retombant dans le monde artistique (hip hop, musical plus qu’autre chose, mais artistique tout autant), je ne pouvais que côtoyer mes congénères. Du moins je le crois. (je me considère écrivain, mais tant et aussi longtemps que je vais rester assise sur mes fesses, rien ne se produira…on s’entend…). Par la force des choses, j’ai croisé cette personne. En fait, je ne sais pas assurément si cela pourrait être. Être au diapason avec une autre personne, artistiquement parlant peut parfois être difficile, mais si en plus cette personne nous intéresse autrement qu’une collaboration artistique. Intensément.

Mais pourquoi? Je ne l’ai vu que 4 fois, en tout peut-être et je retombe comme une adolescente à un point tel que je ne peux lui parler, me considérant nulle dès que j’ouvre la bouche. Genre, pas capable d’enligner une conversation intelligente. Ce que je suis amplement capable en situation où JE suis normale et pas engloutie sous une gêne paralysante. C’est ridicule, et aux dernières nouvelles, il ne tue pas. Parce que sincèrement, je crois que je serais morte et enterrée depuis des siècles (oui, mes vies antérieures comptent aussi…). Il est donc plus facile de l’écrire sur un blog que d’aller voir la personne directement et lui dire. Donc la toile au complet va être au courant sauf la personne concernée. Ridicule. Encore une fois. Mais au moins, cela me fait du un bien énorme. Parce qu’entre le ‘’je dois le dire tout de suite’’ et l’action qui s’ensuit, il y a un ‘’time frame’’ énorme. Et malgré que je sois en train de l’écrire, je favorise de beaucoup le réel plutôt que le virtuel. Mais quand je suis devant lui, je bloque, donc je tourne en rond…keep on turning and turning and turning…


Je crois que pour me défrustrer de mon inaction et de bon, ma personne que je suis en particulier, une petite nouvelle sur un tueur/violeur d’écureuils pourraient peut-être me faire du bien. Bah, on verra bien dimanche…argggg…le suspens me tue…comment on dit à quelqu’un que je ne veux pas que le croiser…ehhhhhh merde!!!!!!!

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